Portrait d'employé : Nicolas N. | Bota Bota, spa-sur-l'eau

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Portrait d’employé : Nicolas N.

Ce portrait s’inscrit dans une série que nous réalisons chaque mois, afin de célébrer la pluralité et l’inclusion que le Bota Bota souhaite continuer à promouvoir.

« Moi, mon but, c’est toujours de trouver une place où je peux travailler et me faire du fun », Nicolas, Assistant-superviseur expérience spa au Bota Bota depuis presqu’un an, me partage.

Né à Val-David, un petit village dans les Laurentides, il s’achète une maison mobile à l’âge de 18 ans qui lui permettra de mener la vie simple dont il rêve. Pendant plusieurs années, il se prête au travail manuel pendant la moitié de l’année et passe l’autre moitié à voyager à travers le monde en sac à dos. « Je travaillais dans l’aménagement paysager à l’époque et, quand la saison était finie, je partais en voyage pendant 2 mois. » L’hiver, il s’occupait de l’entretien des patinoires extérieures et quand le printemps arrivait, il se trouvait un autre temps pour voyager. Après quelques années, le rythme d’un horaire fixe lui manque; il se tourne donc vers un autre chapitre.

Pour faire changement, Nicolas commence à travailler dans une serre où il en apprend davantage sur les fleurs, ensuite il se retrouve chez Labatt en tant que marchandiseur. Il n’y reste pas longtemps, car il décide qu’il veut retourner aux études, ce qui le pousse à s’installer à Montréal. « J’aimerais commencer par compléter un certificat en intervention en toxicomanie dans le but de travailler avec les gens pour la communauté », précise-t-il.
« Je me suis dit que mon expérience de vie fait en sorte que j’ai les qualités et le désir de travailler là-dedans. » Il a d’ailleurs effectué les démarches pour débuter son certificat, mais il finit par reporter sa session. « Ça fait un an que je découvre Montréal et que je m’acclimate », explique-t-il. « Mon but, c’était d’aller à l’université, mais je ne pense pas que je suis prêt.”

À son arrivée dans la ville, il est attiré par l’environnement qui entoure le Bota Bota. Il admire le fait de pouvoir travailler dehors et de pouvoir profiter de l’air frais dans un milieu urbain. « Au début, je voyais ça juste comme une job pour me permettre de retourner aux études », me confie-t-il. Aujourd’hui, il y retrouve une belle équipe où il partage un sentiment d’appartenance. Il est aussi fier de travailler dans un endroit qui valorise la santé et le bien-être et de pouvoir partager ses connaissances avec les clients.

À travers tout cela, il n’est pas pressé. Après avoir vécu une enfance difficile, il n’hésite pas à prendre son temps pour se découvrir. « Pour l’instant, je suis bien au Bota Bota. »

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