Portrait employée : Florence C-P. | Bota Bota, spa-sur-l'eau

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Portrait employée : Florence C-P.

Ce portrait s’inscrit dans une série que nous réalisons chaque mois, afin de célébrer la pluralité et l’inclusion que le Bota Bota souhaite continuer à promouvoir.

« J’ai grandi dans une famille très québécoise mais ma mère a toujours adoré le voyage », confie Florence C-P, esthéticienne au Bota Bota depuis un an. Née à Lennoxville en Estrie, Florence est le troisième enfant d’une fratrie de six. « Ça fait beaucoup de monde ! », rit-elle.

À 17 ans, elle entame son premier long séjour en dehors du Canada, lorsqu’elle part habiter au Japon. « J’ai refait mon secondaire 5 là-bas, dans une école de filles ». Elle y rencontre plusieurs étudiants internationaux et découvre aussi la particularité du onsen, bain chaud thermal dont l’eau est issue de sources volcaniques. Un avant-goût, sans le savoir, du Bota Bota.

Lorsqu’elle revient à Montréal un an plus tard, elle entame un diplôme en arts visuels au Cégep. Puis, décide une fois de plus de partir, cette fois-ci en Finlande. Elle y découvre la joie des saunas hebdomadaires. « En Finlande, tout le monde en possède un ! » 2 à 3 fois par semaine, le rendez-vous est pris. « On le fait souvent en groupe, mais on peut aussi le faire seul, le soir avant de se coucher. »

De ses expériences multi culturelles, Florence en garde une émotion soutenue. « C’est une sensation très bizarre de retourner chez soi. C’est comme si ton pays, c’est ton pays, mais plus ta maison », une sensation en apesanteur, comme si sa présence n’était plus vraiment ancrée.  « Lorsque tu voyages, tu t’adaptes, tu veux rester où tu es. Tout est tellement différent quand tu reviens. »

Pourtant, Florence pense aujourd’hui avoir retrouvé un lieu et un rythme qui lui convient. Bien qu’elle rêve de revoir le Japon, elle se concentre sur sa carrière, dont elle vient d’obtenir le diplôme récemment. « Je suis allée à l’École des Métiers des Faubourgs de Montréal. J’ai fait le programme en presque trois ans au lieu de quatorze mois à cause de la pandémie… C’était très long ! » Mais elle ne regrette pas une seconde ces dernières années. « C’est le métier le plus amusant ! C’est ma passion, c’est ce que je veux faire pour le reste de ma vie. J’apprends continuellement. »  

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