Portrait d'employée: Violaine G-G. | Bota Bota, spa-sur-l'eau

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Portrait d’employée: Violaine G-G.

Ce portrait s’inscrit dans une série que nous réalisons chaque mois, afin de célébrer la pluralité et l’inclusion que le Bota Bota souhaite continuer à promouvoir.

« Ma mère m’a dit que j’étais tellement pressée que j’ai failli rentrer dans le mur », Violaine G-G., agente de réservation depuis 3 ans au Bota Bota, éclate d’un rire sonore. Cette histoire, c’est celle de sa naissance; bien trop heureuse de voir le jour, elle naît avec une rapidité époustouflante dans la maison de ses parents, à Laval.

Cet empressement qu’elle porte en elle depuis ses débuts se traduit aujourd’hui par une curiosité sans limites. Elle trouve son bonheur dans le maquillage, les films (surtout ceux de Guillermo Del Toro et Quentin Tarantino), les jeux vidéo et le chant. Divers mondes qui alimentent sans arrêt son besoin de découverte.

« Mon père était un gamer assidu », se souvient-elle, « Il avait toutes sortes de consoles et d’ordinateurs démontés chez lui. Cet univers m’a inspiré. » Sa passion pour le maquillage et les soins de la peau vient lui aussi d’un membre de sa famille; « Ma grand-mère a toujours fait attention à sa peau, elle me gardait souvent lorsque j’étais jeune. Elle avait une étagère au mur, avec des rouges à lèvres, et des produits pour la peau », un étonnant clin d’œil au monde dans lequel Violaine baignera plus tard.

Avant d’intégrer la grande famille du Bota Bota, elle débute des études en documentation au Collège de Maisonneuve. C’est là qu’elle apprend notamment à faire de la gestion d’information et de la numérisation, des aptitudes qui lui seront très utiles au Bota Bota. « Je m’épanouis le plus lorsque je dois trouver des solutions pour les autres », un talent qu’elle met à profit au quotidien à bord.

Aujourd’hui, Violaine débute une nouvelle aventure académique en psychologie et sexologie à l’UQAM. « La psychologie m’a toujours intéressée mais je me retenais, je me mettais des bâtons dans les roues à cause de mon âge. Mais j’ai des amis trans et dans la communauté LGBTQ+, dont je fais moi-même partie, et j’ai envie de les aider. » Trouver des solutions, aider les autres… un fil rouge qui accompagne Violaine dans chaque étape de sa vie.

Ce changement d’orientation, elle le prend avec un brin de sagesse. « Quand on change de direction, on fait ça pour nous. L’âge c’est juste un chiffre et finalement, 30 ans, ce n’est pas si vieux que ça pour se remettre en question ».

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