Bota Bota
Portrait d’employée: Mayra C.
Ce portrait s’inscrit dans une série que nous réalisons chaque mois, afin de célébrer la pluralité et l’inclusion que le Bota Bota souhaite continuer à promouvoir.
« Quand j’ai commencé à travailler au Bota Bota, je pensais que ça allait être relax… Mais ce l’est vraiment pas ! » s’exclame Mayra, superviseure adjointe des réservations depuis presque 1 mois.
Après avoir grandi en Abitibi et sur la Rive-Nord pendant son enfance, elle déménage à Montréal avec ses parents en 2012 — elle habite ici depuis maintenant plus de 10 ans. Elle aborde une demi-session en littérature au cégep avant de quitter et d’embarquer sur le marché du travail. Après quelques années d’expérience en service à la clientèle, Mayra rejoint le Bota Bota. Elle passe près de 2 ans en tant qu’agente à l’hospitalité et aux réservations avant d’adhérer au poste de superviseure adjointe des réservations. « Au début, je ne pensais pas que j’allais me rendre aussi loin, mais le fait de pouvoir monter les échelons, c’est vraiment encourageant. Ça me permet de pousser mes limites. »
« J’aime l’énergie du bureau; c’est jamais lourd pour moi d’être ici. Ça me permet d’avoir une vie à l’extérieur du travail contrairement à d’autres endroits où j’ai travaillé, » me confie Mayra. L’équilibre travail-vie personnelle que le Bota Bota lui accorde lui permet de consacrer son temps à sa compagnie de bijoux. Ce qui était initialement un passe-temps durant la pandémie a vite évolué et est devenu une vraie passion pour elle. Elle achète des perles seconde main et essaye le plus possible d’incorporer le recyclage dans le matériel de ses bijoux. « Mes morceaux sont fabriqués avec l’intention d’être de l’art portable. Je mets aussi beaucoup d’emphase sur le fait que mes bijoux sont non-genrés, » m’explique-t-elle. C’est très important pour elle d’être inclusive et éco-responsable dans sa fabrication de bijoux.
Éventuellement, elle aimerait retourner à l’école pour étudier la joaillerie davantage, mais pour l’instant, son poste de gestion lui plaît beaucoup. « Je suis vraiment fière d’où je viens et d’où je suis rendue maintenant. »